Le Réseau des Associations des droits de l’homme et promotions du Kasaï RAPRODHOK en sigle s’indigne et condamne avec la dernière énergie le comportement des tortures appliquer par les policiers surtout dans le territoire de tshikapa précisément à kamonia chef-lieu du territoire.
D’après Alain nkashama Muana secrétaire exécutif de RAPRODHOK qui s’est confié à la presse le samedi 30 Novembre, la torture est déjà aboli par les différentes lois nationales et internationales.
Le grand regret est que la personne qui a subi des tortures avait été arrêté et mise en détention d’une manière irrégulière donc sa détention était illégale, dès lors qu’il avait déjà passé 48 heures en garde en vue il pouvait être au ministère public pour l’instruction de son dossier.
Mais , l’OPJ de la police a gardé cette personne a plus de 4 jours en détention sans être transféré devant le ministère public ce qui est une violation des droits humains. »
Le RAPRODHOK s’en va contre les officiers de la police judiciaire (OPJ) qui ne respectent pas les procédures judiciaires dans la détention de prévenus, tout a demandant aux autorités provinciales de la police à prendre toutes les responsabilités pour instruire tous les policiers à ne plus commettre les tortures sur la population.
Ce réseau se dit disposé à accompagner la famille de la victime sur le plan juridique et judiciaire pour faire appliquer le droits, a déclaré Alain nkashama muana.
Il faut vous préciser que le fait s’est déroulé le mercredi 27 Nov dernier où le jeune-homme répondant au nom de Mudiwila Tshipamba Willy âgé de 27 ans était placé en détention préventive dans le local de la police après une dispute conjugale avec sa concubine. Pendant que la procédure de son arrestation était en cours, et c’est le mercredi qu’on a trouvé ce dernier déjà mort après êtres torturé a affirme le RAPRODHOK.
Innocent Kayembe
+ There are no comments
Add yours