Il s’est tenu ce vendredi 16/02/2024, une assemblée générale extraordinaire convoquée
par Union Nationale de presse congolaise (UNPC) section du Kasaï central.
Réunissant tous les chevaliers de la plume venus de tous les cinq territoires qui composent la province et ceux de la ville de Kananga.Prenant parole, le président de l’UNPC Kasaï central Adely KABASUBABU, a de prime abord salué la présence de tout un chacun et dans son mot de circonstance le numéro 1 de cette corporation a précisé que
Cette dernière avait pour objectif de redynamiser, assainir et extirpé quelques dérapages qui émaillent actuellement le milieu professionnel dans cette partie centrale du pays.
Du fil en aiguille, cette teneur principale soulignée ci-haut a fait l’objet à un débat houleux durant 40 minutes. Effectivement c’était une brèche ouverte pour ces experts de micro, de relever certains défis ou déceler les dérapages à l’instar des tiraillements et critiques entre les uns et les autres qui sont dûs à l’instrumentalisation des politiques et leurs intérêts mesquins.
Quelques recommandations ont été administrées en vue dissiper ces dérapages et le rappel au respect d’éthique et de la déontologie du Journaliste congolais.
Saisissant de occasion,le
Collectif des journalistes sous le joug de l’UNPC Kasaï central, a présenté aussi son mémorandum dans lequel il s’indigne de bavures et déviances commises dans cette profession qui risquent de torpiller davantage le bon fonctionnement du journalisme dans cette partie de la RDC, tout sollicitant ce qui suit :
- Des ateliers de renforcement de capacités aux néophytes.
- La redynamisation de la commission disciplinaire et la prise de sanctions disciplinaires au regard de ces auteurs qui marcheront à l’encontre de l’éthique et déontologie.
- La suspension des quelques émissions politiques.
À lumière de tout ce qui précède, il était question pour le patron de l’Union nationale de presse congolaise de lancer un message pathétique à tous les journalistes de fumer le calumet de paix afin de vivre dans la solidarité et confrérie, c’est la salle père Cambier qui a servi de cadre à ces assises.
Jacques Kalengayi/Kananga
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