Certaines organisations de la sociétés civiles de la province du Maï-Ndombe vivante dans la ville d’Inongo, chef lieu des institutions provinciales dénoncent des cas de corruption à Ciel ouvert qui ont élue domicile dans le chef des quelques candidats et certains élus provinciaux et ce, à 24 heures du déroulement desdites opérations électorales.
Des Sources concordantes parlent d’une corruption d’au moins 5 députés ayant reçu les promesses d’une Jeep et d’une sommes allant à 30 000 $ en échange des voix.
Cette corruption a pousser certains députés dit consciencieux d’intenter une action en justice dans le souci de mettre à nu cette mafia à ciel ouvert.
Selon ce groupe de députés, les preuves sont réunie pour faire cette action.
A cet effet, les associations des jeunes ainsi que les groupes de pressions membres des organisations de la société civile, appellent les services de sécurité de s’imprégner de la situation afin que cesv antis valeurs soient inquiètées pour servir de leçons.
Par ailleurs, les membres de ces structures non gouvernementales remercient et félicitent le groupe de députés consciencieux qui ont dénoncés cet acte d’ignominie et ils leur demandent de continuer à réunir les preuves pour ce faire.
A les en croire : Encore une fois ils demandent aux services de sécurités de bien veuiller dimanche, 26 mai 2024, le jour des scrutins avec un contrôle corporel des députés avant leur accès dans la salle de plénière pour que les stylos, montres, bracelets, téléphones portables et d’autres instruments électroniques suspects pouvant filmer le vote soient interdits car les stylos caméras sont déjà dans l’un des bureaux du bâtiment de l’Assemblée, il faudrait donc un contrôle avant leur entrée dans la salle de plénières et ce, avant de voter .
Il sied de préciser que la population est appelée à rester vigilante afin de pousser aux élus provinciaux de faire un vote judicieux pour choisir un manager, celui qui à une probité morale, capable de booster le changement et l’épanouissement de la province du Maï-Ndombe et non celui qui vient pour apprendre et pillier les derniers publics appartenant aux Maï-Ndombiens et Maï-Ndombiennes. La vigilance oblige car les téléphones de certains élus provinciaux sont en ces jours injoignables, d’autres élus ont acheté des nouvelles cartes sim et par contre d’autres seraient enfermé dans une maison pour obtenir des consignes de leurs mentors.
MMB
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