Les études ont été récemment effectuées pour évaluer les chances de chaque candidat à l’élection présidentielle prévue pour ce mercredi 20 décembre en République Démocratique du Congo par les grands Salons démocratiques dans le monde et en Afrique.
Les résultats de ces enquêtes, menées à moins d’une semaine du scrutin, indiquent que le président sortant, Félix Antoine Tshisekedi garde la tête de sondages devant ses rivaux.
Moïse Katumbi, viens en deuxième position surplombant ainsi Martin Fayulu, candidat principal challenger de Félix Tshisekedi en 2018.
La perte de position de Moïse Katumbi découle de plusieurs scandales récents auxquels il n’a pas pu apporter les éclaircissements attendus par les Congolais. Parmi ces scandales, la détention présumée d’un passeport diplomatique zambien dont Moïse Katumbi n’as ni mots ni demi à s’expliquer devant le peuple congolais. Autres faits c’est l’arrestation de son proche collaborateur qui travaille en conivence avec le M23, mais également cette position renforcée de Naanga qui prouve son soutien à Katumbi qui dors et déjà est pris par ses propres pièges en étroite collaboration avec les terroristes du M23. Ces éléments ont été révélés par Corneille Nangaa à Nairobi, aux côtés d’un chef politique du mouvement terroriste opérant dans l’Est du pays.
Les relations étroites de Katumbi avec le régime de Kigali, connu comme source d’instabilité dans l’est de la RDC, le placent dans une position délicate concernant les questions de sécurité. Il peine à condamner le Rwanda, pourtant désormais reconnu comme agresseur de la RDC, ce qui crée un malaise pour le candidat n°3 mais aussi et surtout son manque de vocabulaire pour un pays francophone comme la RDC à la dimension Continental.
Dans ce contexte, Félix Tshisekedi semble solidifier sa position, avec près de 58,2 % des intentions de vote, suivi par Martin Fayulu à 19,8 %, reléguant Moise Katumbi à la troisième place avec 10,1%. Ces données exclusives, provenant de sources consulaires de trois ambassades influentes, dessinent un paysage électoral en évolution rapide à quelques jours du scrutin.
Les révélations sur l’utilisation d’un passeport zambien par Moise Katumbi, étayées par des preuves diffusées sur les réseaux sociaux, ont suscité de nouvelles interrogations. Ses liens avec des personnalités controversées, comme James Kabarebe et Bertrand Bisimwa, l’ont contraint à ne pas prendre de position officielle contre le Rwanda et son président.
De plus, l’annonce de Corneille Naanga, ancien président de la CENI en exil, de prendre les armes aux côtés du M23 pour « évacuer Félix Tshisekedi » a créé un nouvel émoi. Les informations crédibles rapportent un appel de James Kabarebe à Naanga pour soutenir le M23, dans le but d’être considéré pour le gouvernement de Moise Katumbi.
Katumbi est en difficulté la plus totale pour ces élections qui se pointent déjà à l’horizon.
Rédaction.
+ There are no comments
Add yours